Puisque toute
conclusion est le produit de ce que l’on choisit de percevoir;
Puisque toute
perception n’est que l’angle unique d’une globalité;
Puisque la
globalité renferme l’absolu des possibles dans sa complexité;
Puisque la
complexité est un amalgame confus de contradictions;
Puisque la
contradiction contient et le blanc, et le noir;
Puisque le noir
a plusieurs teintes et n’est qu’un état passager;
Puisque le
passage rétrécit, laisse une trace sinueuse et s’épanche vers l’horizon;
Puisque
l’horizon semble être le champ ouvert de toutes les perceptions;
Puisque les
percptions sont aussi multiples que les états et les individus;
Puisque les
individus possèdent le pouvoir de choisir;
Puisque choisir
est à la fois une responsabilité, et une liberté;
Puisque la
liberté permet infiniment de se perdre;
Puisque se
perdre est la destinée secrète de chaque être;
Puisque chaque
être se perd en cherchant à combler un manque;
Puisque manquer
est être guidé par la force du Désir;
Puisque désirer
mène à vouloir, saisir, posséder, la vérité;
Puisque la
vérité ne s’atteint que dans l’impossible, et puisque l’impossible est
inatteignable,
eu aguardo comigo este
espaço entre nos, cheio duma energia indizivel, que não posso chamar de verdade
ou mentira, amor ou amizade. Este espaço
entre nos contém alguma coisa maior, tão intima, tão profunda, tão misteriosa.
Que quase me fez chorar. Que a verdade
seja esta emoção estranha que apanha meu peito, sem saber o quê que é.
Que a verdade seja o
grande Desconhecido.
Puisque je ne connais
que l’absence.
Puisque je ne
connais que l’ennui.
Pois é.